L’intemporel, les imperfections, l’inconnu, le lâcher-prise, les effets chimiques sont autant de phénomènes qui attirent l’artiste vers ce médium qu’est le Polaroid. « Dès le moment où je prends une photo Polaroid, je perds le contrôle sur le résultat. J’utilise le film Polaroid comme une formidable matière vivante ». « J’essaie d’intervenir le moins possible pour conserver le côté organique qui émerge du moment présent. Chaque œuvre a son histoire et nous fait voyager dans une autre dimension. »