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@gerardstaronGérard Staron
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Paris, France

Inscription le 26.02.21 73 articles dans la boutique


Mon travail questionne le rapport au temps et à l'espace du médium photographique. Par construction, la photographie est limitée à l’instant présent, celui du déclenchement, et à l’objet photographié. Mes recherches consistent à essayer de repousser ces limites physiques. Je travaille donc sur la représentation du temps en photographie : • En réalisant des tentatives de représentation d’un temps long ou synthétique (Times) • En présentant un temps décalé entre le sens de l’image et la prise de vue (Les bains de mer, Flower Timegram) • En cherchant de nouvelles formes d’images (Cauchemar) (...) Je travaille aussi sur l’espace photographié : • En diluant l’espace jusqu’à le rendre méconnaissable (Lost) • En produisant un espace refabriqué (Faux-semblants) • En produisant un paysage idéal (Winter) Ces recherches ont pour but d’en finir avec les concepts de photo « vérité » et d’instant décisif, justifié par le procédé mécanique et instantané de la photographie. J’interroge la perception du réel et l’interprétation de l’objet photographié. Celui-ci n’est identifié que parce qu’il répond à une norme admise par le spectateur qui le définit comme tel. L’image montre ce que l’auteur veut montrer, fait croire, d’autant plus facilement que le spectateur veut croire. Le jeu est alors de montrer au spectateur ce qu’il attend, en regard avec son histoire, sa culture, ses souvenirs. Ainsi, « Les bains de mer » jouent avec notre mémoire, imprégnée non pas des paysages réels mais avec leur représentation par les peintres du début XXème. « Flower timegram » recréé une présentation muséale et datée à partir d’images « jetables » réalisées avec Instagram. « Hom(m)es » présente tous les aspects du documentaire. « Faux-semblants » semble montrer des scènes de la vie réelle. « Rêves d’enfance » évoque les « monstres » et « héros » de notre enfance. L’image sert donc toujours un propos dont la gravité n’empêche pas un traitement teinté d’humour et de dérision. • L’absurdité de la vie quotidienne (Faux-semblants, Les nuits sans lune) • L’environnement (Faire-parts) • La vieillesse, la mort et la guerre (Flower Timegram, Cauchemar) On retrouve dans les histoires (textes) d’Hom(m)es en filigrane mes préoccupations. Enfin, je travaille sur la forme au service du propos ou comment la mise en série et la scénographie peuvent influencer le spectateur. « Faux-semblants » immerge ainsi le spectateur dans un caisson fermé le rendant ainsi prisonnier de sa vie « moderne ».
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Gérard Staron

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Spectateurs acteurs 947.00 

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Le ballet (Danse rouge et bleue) 947.00 

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Le voile 3 947.00 

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Le voile 2 947.00 

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Le voile 1 947.00 

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Que le spectacle commence ! 947.00 

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L’installation 947.00 

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La loge (coté droit) 947.00 

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Au spectacle 947.00 

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La loge (coté gauche) 947.00 

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Le strapontin 947.00 

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Ouverture 947.00 

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Le contemplatif 947.00 

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La ronde 947.00 

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La jeune fille au cerf-volant (volet 3) 947.00 

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La jeune fille au cerf-volant (volet 2) 947.00 

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La jeune fille au cerf-volant (volet 1) 947.00 

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Dans l’eau 947.00 

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Le maillot de bain rouge 947.00 

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Mouillage de genoux le long de la jetée 947.00 

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Le voilier sur la plage 947.00 

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Le baigneur derrière les trois cabanes 947.00 

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La queue du cerf-volant 947.00 

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Cache-cache 947.00 

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La chaise 947.00 

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Dans le vent 947.00 

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Face à face 947.00 

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Les casquettes 947.00 

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Le bateau derrière les parasols 947.00 

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Les parasols orange et bleu 947.00 

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Le pointu et le parasol 947.00 

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Le paravent bleu ciel 947.00 

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A la croisée des pas 947.00 

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Le signal 947.00 

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Jeux 947.00 

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Le paravent 947.00 

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Les cabines et les trois bateaux 947.00 

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Les cabanes et la mer 947.00 

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Jeux de plages 947.00 

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Les cabanes multicolores 947.00 

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Les deux cabanes et le baigneur 947.00 

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Poste de secours avec balcon 947.00 

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Le toboggan 947.00 

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Le local SNSM 947.00 

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Les cabines 947.00 

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Le poste de secours 947.00 

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La régate 947.00 

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Promenade sous le phare 947.00 

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La danse du pêcheur à pieds 947.00 

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Le footballeur 947.00 

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Silhouettes 947.00 

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Ne rien faire 947.00 

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A l’abri de la digue 947.00 

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Les paravents 947.00 

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Sous la falaise 947.00 

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Le parasol rouge 947.00 

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Les deux lignes 947.00 

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En attendant les baigneurs 947.00 

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La danse inutile 947.00 

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Le contemplateur 947.00 

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Le désert à notre porte 947.00 

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Sombre horizon 947.00 

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Sans repère 947.00 

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Le loup blanc 947.00 

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L’escalier inutile 947.00 

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S’enfoncer dans le néant 947.00 

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Soleil gris 947.00 

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On a marché sur l’horizon 947.00 

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La falaise 947.00 

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le col 947.00 

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Suspendu sous les nuages 947.00 

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Les radiations 947.00 

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Le gardien 947.00 

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  07-05-2022
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